Affichage

Communication publicitaire par voie d’affiches : sur la voie publique en ville (dont les célèbres « 4 par 3 » :4 mètres de largueur, 3 mètres de hauteur), sur le mobilier urbain (abrisbus, panneau d’informations municipales…), dans le métro, sur des engins spécialisés (la réglementation concernant ce type d’affichage a tendance à se renforcer pour des raisons de protection de l’environnement : pollution, respect de certains sites historiques et centre-villes…), sur des autobus entre autres.
Outre une assez bonne mémorisation, l’affichage permet une bonne couverture géographique (par exemple il y a plus de 200 000 4X3 en France), une bonne sélectivité géographique (les afficheurs proposent à leurs clients des sélections multicritères dans leur base données, par exemple selon l’environnement géographique, commercial, industriel…). Mais l’affichage permet peu de ciblage thématique et exige une certaine simplicité du message, du graphisme (la cible ne peut, ou ne veut prendre le temps de détailler l’affiche pour la comprendre).
L’affichage peut être :
– permanent : par exemple utilisable en signalétique,
– provisoire : le temps d’une campagne de communication,
– à temps partagé : certains panneaux permettent la présentation en alternance de différentes affiches : cela permet d’augmenter le nombre de messages diffusés et d’améliorer l’attention de la cible. Mais cela exige que la cible soit exposée au panneau pendant plusieurs dizaines de secondes au moins (par exemple lorsque les automobilistes sont arrêtés par un feu, ou lors d’une circulation très dense). Enfin cela génère des coûts d’exploitation sensiblement plus élevés (coût du panneau, coût de l’énergie, coût de l’affiche, coûts de mise en place).
En principe le support est une affiche papier mais les grand écran LED sont de plus en plus utilisés : ils permettent une meilleure visibilité (rétroéclairage), des contenus dynamiques (vidéo…) et un affichage en temps partagés.
Voir aussi : communication média.